OH HAPPY DAY
LE RETOUR D’UN DUO ATTACHANT
Que l’on ait dévoré Et je danse, aussi et attendu la suite avec impatience, ou que l’on découvre Adeline et Pierre-Marie pour la première fois, ce nouveau roman baptisé Oh Happy Day se savoure avec le même plaisir ! Après cinq ans de silence, Pierre-Marie se décide (enfin) à envoyer un mail à Adeline au sujet d’un carnet noir qu’il aurait oublié et dans lequel il cherche à retrouver une petite phrase de trois lignes qui serait, dit-il, un excellent début de roman. Vérité ou prétexte pour reprendre contact ? Plutôt la deuxième option… Sauf qu’Adeline a bien d’autres projets que de chercher ce carnet. Sa vie est en plein tournant puisqu’elle est à quelques semaines de déménager à Toronto avec le nouvel homme qui partage sa vie. Pourtant – et ce pour notre plus grand bonheur – la correspondance reprend et finit par prendre de l’ampleur, entraînant les deux personnages dans un tourbillon inattendu.
LA MAGIE OPÈRE ENCORE
Les auteurs Anne-Laure Bondoux et Jean-Claude Mourlevat ont gardé la même recette magique : de la légèreté qui n’enlève rien à la délicatesse des mots et à la force des émotions, des rebondissements qui nous font passer des rires aux larmes et un format épistolaire qui rend la lecture encore plus fluide et agréable. On sourit, on s’émeut, on réfléchit… Bref, on tourne les pages les unes après les autres, sans vouloir s’arrêter ! (Marie France, mai 2020)
JEFFERSON
Fable de haute fantaisie, comédie policière, roman subtilement engagé, c’est un arc-en-ciel que ce roman-là. (Michel Abescat Télérama 2018)
ET JE DANSE, AUSSI
Selon un procédé vieux comme la littérature, Anne-Laure Bondoux et son confrère Jean-Claude Mourlevat, tissent un roman épistolaire, à la différence près que la correspondance, modernité oblige, se passe via des mails. Et ça marche. On se laisse emporter par les liens qui, mail par mail, se tissent entre Pierre-Marie, romancier à succès en panne d’écriture, et Adeline Parmelan, lectrice fan de son œuvre. Tout commence mal, bien sûr : Adeline a envoyé un paquet à Pierre-Marie, sans lui en révéler le contenu. Ce dernier, prudent, se refuse à l’ouvrir... Et l’échange commence. Chacun révèle un peu de soi à l’autre. Les quatre mariages de Pierre-Marie, la vie terne d’Adeline qui se décrit comme une « brune, grosse » et inintéressante, chanteuse dans une chorale. L’éloignement, le filtre de l’écriture vont leur permettre d’aller à la rencontre de leurs histoires respectives. Blessures d’enfance, blessures d’amour... Ils deviennent indispensables l’un à l’autre. De l’amour, pas encore, mais l’intimité et la complicité font leur chemin. Et puis, un jour, Pierre-Marie ouvre le paquet... et l’histoire va s’emballer. Et le lecteur n’écoutera plus jamais le « Jeu des mille euros » de la même oreille. Anne-Laure Bondoux et Jean-Claude Mourlevat ont su trouver un ton plein d’humour et joliment fantaisiste pour ce charmant roman. Cette manière de parler des choses importantes tout en légèreté, de faire affleurer l’émotion au coin des pages, on aurait pu croire qu’elle restait la marque de fabrique des romanciers anglo-saxons (et surtout des romancières), « Et je danse, aussi » nous apporte la preuve que les français en ont découvert le secret. Enfin, ces deux-là... (Christilla Pellé-Douël, Psychologies)
SOPHIE SCHOLL : " NON À LA LÂCHETÉ "
Sophie Scholl, le courage absolu
”Vous prendrez bien une bonne dose de courage ? Si l’on compte nombre de romans traitant de la Résistance côté français ou anglais, les textes de littérature jeunesse évoquant la Résistance vue d’Allemagne sont plus rares. Jean-Claude Mourlevat, auteur de treize romans, ancien professeur d’allemand et traducteur, raconte le destin de Sophie Scholl, plus jeune membre du groupe de résistance La Rose blanche, qui comme des centaines d’Allemands tenta de combattre avec peu de moyens le régime nazi. Le mouvement La Rose blanche auquel appartenait Sophia Magdalena Scholl et son frère Hans est sans doute le plus connu, à travers son icône, arrêtée avec son frère le 18 février 1943 par la Gestapo, alors qu’ils distribuaient des tracts antinazis à l’intérieur de l’université de Munich. Ils seront jugés et exécutés quelques jours plus tard…” (L’Express, blog « Allonz’enfants », Nathalie Riché, mars 2013) Lire la suite...
SILHOUETTE
"On comprend vite le ressort commun à ces dix nouvelles particulièrement vinaigrées, et l'on se plaît — mais oui ! — à imaginer ce qui va bien pouvoir arriver de fâcheux à chaque nouveau personnage, quelles que soient les qualités de ses intentions. Comment celui-ci va-t-il tomber ? Celui-là rater la marche ? Échecs, fiascos, loupés, flops en tout genre font de ce recueil de contes cruels écrits au millimètre une sorte de bijou mélancolique et noir, un exercice de style aussi brillant qu'impitoyable : la vie souvent est d'une grande vacherie. Jean-Claude Mourlevat, qui n'avait pas habitué ses lecteurs à tant de férocité, les prend à revers, porte l'art de la chute (dans tous les sens du terme) à son incandescence et se met lui-même en boîte dans une méchante pirouette finale. Pourquoi les écrivains seraient-ils épargnés ?" (Télérama n° 3298 - Michel Abescat - 30 mars 2013)
LE GARÇON QUI VOLAIT
"Ce récit, de facture classique, est remarquablement bien construit. Il laisse la part belle à l'humour et à l'aventure [...]. L'univers du cirque traditionnel donne lieu à une savoureuse galerie de personnages qui prennent vie grâce à la belle trouvaille de l'auteur : un jeu sur les caractres d'imprimerie lorsqu'il s'agit de reporter les paroles." (Page, août 2012)
"Émouvant, ce roman reprend les thèmes chers à Mourlevat : la différence, la tolérance, l'amitié." (Je bouquine, 2012)
"Un peu de nostalgie et surtout beaucoup de tendresse, dans l'amitié comme dans les difficultés. Un anti-héros sympathique." (La Revue des livres pour enfants, 2012)
TERRIENNE
"Le nouveau roman de Jean-Claude Mourlevat, déjà détenteur de plus de 80 prix littéraires pour ses livres destinés aux enfants et adolescents (son plus grand succès, L'Enfant océan, avoisine les 800 000 exemplaires), est un véritable régal. Sur les pas d'Anne, dont la sœur a disparu après son mariage, on y bascule d'un monde à l'autre en franchissant des barrières invisibles. L'héroïne "passe" ainsi dans cet univers troublant, accompagnée d'un vieil écrivain en mal de création. Dans sa recherche, elle fera des rencontres étonnantes et traversera un monde aseptisé, sans souffle, sans odeur et sans saveur. Ce n'est pas le cas de ce roman, qui entraîne avec brio son lecteur dans un monde étrange et onirique. Le style est limpide comme "l'eau rapide" qu'on boit de "l'autre côté". De l'autre côte du miroir, la mort n'a pas le même visage, mais l'amour reste salvateur. Passée la dernière page, on se laisse aller à respirer, enfin. Même si on n'en est pas tout a fait revenu." (Marie Auffret Pericone - La Croix - 16 février 2011)
Monde parallèle
"Gabrielle a disparu depuis plusieurs mois. Mais elle a réussi à envoyer un signe de là où elle se trouve. Anne, sa jeune sœur, capte le message de détresse et se lance à sa recherche. La lycéenne bascule dans une aventure qui la conduira dans un monde juste à côté du nôtre, où les hommes ne respirent pas, ne suent pas, où les femmes n'accouchent pas. Un monde où les goûts et les odeurs sont bannis, comme tout ce qui fait la richesse et la faiblesse de la vie des Terriens. Anne se trouve en danger, mais elle pourra compter sur l'aide d'amis précieux : le vieux monsieur qui l'a prise en auto-stop, une femme étrangement séduite par ("humanité" de la jeune fille, et un jeune garçon hybride, qui choisit son camp par amour. Jean-Claude Mourlevat signe un roman captivant qui révèle la beauté de la nature sauvage des hommes. Il rappelle le prix d'une respiration régulière, d'un cœur qui bat, d'un sentiment humain. (Le Républicain Lorrain - mars 2011)
Articles à télécharger
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Lecture Jeune juin 2011
L'as-tu lu mon p'tit loup chronique de France Inter mai 2011
Var Matin 9 avril 2011
Les livres de Sara 26 mars 2011
Télérama 26 mars 2011
Valeurs actuelles 17 mars 2011
Ouest-France 6 mars 2011
Skyrock janvier 2011
LA RIVIÈRE À L'ENVERS 1 : TOMEK
"Jean-Claude Mourlevat est un auteur jeunesse à classer dans sa bibliothèque à côté d'Henry Bosco. La Rivière à l'envers est un roman d'aventure à l'écriture éminemment poétique. Tomek, petit épicier rêveur, part sur les traces d'une jeune inconnue à la recherche de la « rivière à l'envers » qui empêche de mourir. […] Il y a là quantité de références à la mythologie enfantine, des personnages fantastiques et une écriture peu ordinaire." (Midi Libre, 22 décembre 2000)
"L'auteur précise que l'histoire se déroule bien avant l'invention de la télévision, des supermarchés et des téléphones portables. Mais les chagrins d'amour, on connaissait déjà. Tomek, qui tient une petite épicerie où il vend de tout, est épinglé. Sur les traces de l'aimée, le voilà confronté à des périls dont il triomphe avec l'habileté d'un Gulliver mâtiné de Petit Poucet et de Chat botté. Des surprises à chaque page. Ce conte merveilleux contemporain possède tous les atouts pour devenir un classique." (Le Magazine littéraire, Michèle Kahn, février 2001)
"La rivière Qjar ne se jette pas dans la mer, elle en sort, et, de cascades qui s'élèvent en rives qui se rejoignent, conduit Tomek, 13 ans, jusqu'à l'eau qui empêche de mourir. Le secret des contes réside moins dans l'évocation du merveilleux ou de l'impossible que dans une géométrie rigoureuse. Jean-Claude Mourlevat nous prouve qu'il n'y a pas d'âge pour apprécier cette science exacte." (L’Express, 14 décembre 2000)
"C'est un conte, un des plus jolis contes qu'on ait pu lire depuis longtemps. Plein de fantaisie et de tendresse, plein de mystères et de parfums. Un conte habité d'ours géants et d'un âne péteur(!), d'une veuve joyeuse et d'un adolescent amoureux parti à la recherche de l'eau qui empêche de mourir. C'est l'histoire de Tomek, le petit épicier qui vendait de tout et même du sable du désert encore tiède. Un beau voyage initiatique qui tient chaud au coeur." (Lire, février 2001)
LA RIVIÈRE À L'ENVERS 2 : HANNAH
"Quel plaisir de retrouver Hannah et Tomek, les deux héros de La Rivière à l'envers ! Jean-Claude Mourlevat raconte ici le périple de Hannah vers la rivière Qjar, sa rencontre avec des personnages étonnants : un vieillard dont la mort ne veut pas, des bédouins qui ne prononcent pas trois mots de la journée, un roi et un reine qui la prennent pour leur fille disparue… Ce récit est un enchantement." (La Croix, 19 juin 2002)
[…] "Un texte envoûtant, qui sort de l'ordinaire, un récit poétique et initiatique, un vrai bonheur de lecture." (Livres jeunesse, octobre 2002)
[…] "L'itinéraire de la petite Hannah qui poursuit seule son voyage au milieu d'une constellation bienfaisante de figures tutélaires, est aussi un plaidoyer en faveur du silence et de la merveilleuse aventure de la lecture, qui constitue le véritable fil conducteur du livre de Jean-Claude Mourlevat. La lecture, une magie sans limite, nous assure l'auteur." (Livre et Lire n° 178, novembre 2002)
La Rivière à l'envers 1 et 2 :
[…] "Ce roman est un chef-d'œuvre dont la signification n'est ni pesante ni oppressante. Au contraire, les deux livres ajoutés représentent 330 pages de pur bonheur." (Frankfurter Allgemeine Zeitung, 7 juin 2007)
LA BALLADE DE CORNEBIQUE
"Jean-Claude Mourlevat écrit bien. Ses histoires nous emmènent loin, très loin… Sortes de contes d'apprentissage tendres et poétiques. Cette fois, on suit les aventures de Cornebique, un bouc au cœur d'artichaut qui quitte son village, le banjo en bandoulière, pour oublier un chagrin d'amour. En chemin, il croise Pié, un petit loir poursuivi par une bande de fouines trrrèèès cruelles. Pié avoue qu'il aime se blottir dans la poche de son ami parce que, dedans, "il fait sec, doux et sombre. L'odeur le rassure. C'est un mélange de tabac, de pain sec et de ficelle". Voilà, c'est exactement ça : un livre doux et sombre, qui sent bon le pain sec et la liberté." (Elle, Anna Gavalda, 19 avril 2004)
LA TROISIÈME VENGEANCE DE ROBERT POUTIFARD
"C'est l'histoire d'un instituteur qui déteste les enfants. Après trente-sept années de souffrances, il profite de sa retraite pour se venger des élèves qui l'ont tant chahuté. Pour tous ceux qui ont un jour détesté l'école, ce livre est une délicieuse consolation. Rien n'est épargné : de la cruauté des enfants au sadisme des profs. L'auteur égratigne tout avec une méchanceté jubilatoire. Irrésistible." (Frimousse, novembre 2004)
[…] "Avec ce roman bien rythmé, Jean-Claude Mourlevat excelle dans le burlesque et termine sur une note de tendresse". (Lire, septembre 2004)
L'ENFANT OCÉAN
[…] "On rit, on pleure, on en sort différent." (La Croix, 26 mai 1999)
"Avec ce récit composé de témoignages, Jean-Claude Mourlevat signe un magnifique roman, à la fois fort et singulier, tendre et bouleversant. C'est l'histoire d'une cavale, celle de sept enfants dont trois paires de jumeaux, en fuite pour échapper au père qui veut les tuer faute de pouvoir les nourrir. Ce road movie dans la campagne française est une balade dans un fait divers poétique. Une belle surprise dans la bibliothèque." (Lire, juillet 1999)
[…] "L'histoire de Yann, Petit Poucet moderne, se dévore sans reprendre son souffle, au rythme des récits de chacun des personnages. Bien écrit mais sans emphase, de l'humour saupoudré ça et là, émouvant sans tomber dans la sensiblerie, voilà un roman classé "jeunesse" qui ne dénotera dans aucune bibliothèque." (Centre Presse, 12 juin 1999)
LA BALAFRE
"Un roman original qui mêle habilement fantastique et histoire." (Je bouquine, mai 1998)
HISTOIRE DE L'ENFANT ET DE L'OEUF
[…] "D'une facture très classique, ce premier texte d'un jeune auteur n'est pas sans rappeler le charme, l'intrigue et la poésie des contes traditionnels." (Libération Champagne, 18 décembre 1997)
L'HOMME QUI LEVAIT LES PIERRES
[…] "Conte de sagesse, conte initiatique, écrit avec le charme et la verve d'un vrai conteur. Le texte symbolique éveille la curiosité et prend le lecteur par la main, lui ouvrant la porte de la réflexion sur les qualités de chacun." (Livres Jeunes, décembre 2004)
L'HOMME QUI NE POSSÉDAIT RIEN
[…] "Quel fantasme de pouvoir vivre ainsi toute une existence, pour voir, et de retourner à son point de départ ! Ce tout petit roman, facile à lire, a des allures de conte de sagesse et, par la force de son contenu, concernera de plus grands lecteurs un peu en panne." (ARPLE n° 26)
L'HOMME À L'OREILLE COUPÉE
[…] "Un conte malicieux à la chute bien savoureuse, sur le pouvoir des mots et la fascination que peuvent exercer sur nous les histoires." (Inter CDI, mai-juin 2003)
"Peu importent les circonstances réelles dans lesquelles le vieux marin a perdu son oreille, puisqu'à chaque fois, même au seuil de la mort, il offre un récit différent et magnifique à son auditoire captivé. Magique." (L’Argus de la presse, février 2003)
JE VOUDRAIS RENTRER À LA MAISON
[…] "Cette somme de souvenirs de pension, plus ou moins graves et cocasses, à la fois uniques et singuliers, est si bien contée que le lecteur les vit par procuration ; à chacun de trouver ici, sous forme de traces fugaces et de sensations partagées avec l'auteur, de quoi alimenter son petit moulin mémoriel…" (Sitarmag, 08 mai 2006)
SOUS LE GRAND BANIAN
[…] "Une histoire toute en douceur, merveilleusement mise en valeur par les couleurs chaudes des illustrations. La sensibilité de Nathalie Novi nous fait sentir, tour à tour, la chaleur de l'Inde, sa profusion de couleurs et sa sérénité. Jean-Claude Mourlevat et Nathalie Novi associent leur délicatesse pour nous offrir un vrai moment de bonheur." (La République du Centre, 8 mars 2006)
"Dans un village d'Inde, deux sœurs se retrouvent le soir sous un grand arbre. La plus jeune, aveugle, se laisse guider par le récit de son aînée, qui imagine pour elle les bonheurs à venir. Puis ce sera à la cadette, aveugle aussi, de rêver pour sa sœur… Un petit bijou de poésie." (Grains de sel n° 31, décembre 2005 - janvier 2006)
"Un album raffiné où la poésie du texte inspire les illustrations de Nathalie Novi, qui restitue magistralement la magie de l'Inde et le bonheur de l'amour fraternel." (L’Argus de la presse, janvier 2006)
JIM BOUTON ET LUCAS, LE CHAUFFEUR DE LOCOMOTIVE
[…] "Grâce au talent de traducteur de Jean-Claude Mourlevat, Michael Ende, auteur allemand décédé en 1995, entraîne le jeune lecteur à la suite de Jim l'orphelin et de Lucas, le fameux chauffeur d'une bien curieuse locomotive… Et lui fait partager son imagination débordante, foisonnante de mondes inconnus et de personnages originaux, généreux et courageux. Un vrai petit chef-d'œuvre." (Famille chrétienne, 13-19 novembre 2004)
[…] "Un conte absolument magique et poétique." (Femina sud ouest, 31 octobre 2004)
"C'est un roman truculent, sans cesse à la frontière du réel et de l'imaginaire, qui ravira à tout coup votre enfant. […] Une incroyable histoire qui vous entraîne au cœur de pays fantastiques, à la rencontre de personnages abracadabrants : des acrobates qui jonglent avec des enfants, un très vieux géant pas si vieux… Un petit bijou de la littérature germanique." (La Voix du Nord, 14 décembre 2004)
[…] "Il était temps que ce petit bijou de la littérature de jeunesse allemande soit traduit en France. Écrit en 1960, ce roman culte outre-Rhin déborde de drôlerie, de tendresse et n'a pas pris une ride." (Lire, octobre 2004)
[…] "L'histoire de Jim Bouton est l'une de ces histoires, vous savez, qui rendent heureux…" (Citrouille, novembre 2004)
[…] "C'est plus qu'un achat, c'est un investissement pour du bonheur de lecteur !" (Livre et Lire Bourgogne, 18 octobre 2004)
[…] "Jim Bouton, de facture classique, a un charme fou. Rien qu'en lisant les titres des 27 chapitres ("Dans lequel les voyageurs doivent affronter les fata morgana"), vous décollez déjà, en locomotive bien sûr…" (La Croix, 01 décembre 2004)
Émission de Radio Couleurs FM du 21 juin 2011,
diffusion les 11, 14 et 17 juillet 2011 avec Jean-Claude Mourlevat.
Écouter l'entretien
JEFFERSON
MES AMIS DEVENUS
SOPHIE SCHOLL : " NON À LA LÂCHETÉ "
LE GARÇON QUI VOLAIT
TERRIENNE
LE COMBAT D'HIVER
LA RIVIÈRE À L'ENVERS 1 : TOMEK
LA BALLADE DE CORNEBIQUE
LA TROISIÈME VENGEANCE DE ROBERT POUTIFARD
L'ENFANT OCÉAN
LE CHAGRIN DU ROI MORT
LA BALAFRE
LA PRODIGIEUSE AVENTURE DE TILLMANN OSTERGRIMM
L'HOMME À L'OREILLE COUPÉE
LE JEUNE LOUP QUI N'AVAIT PAS DE NOM
LE PETIT ROYAUME
SOUS LE GRAND BANIAN
LA RIVIÈRE À L'ENVERS 2 : HANNAH
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LA RIVIÈRE À L'ENVERS
Ce roman a été adapté en opéra pour chœur d'enfants et quatuor en 2007. C'est Maxime Cella qui a assuré la mise en scène, en collaboration avec le prestigieux Quatuor Debussy.
L'ENFANT OCÉAN
Compagnie Mélimélo Fabrique
Adaptation, scénographie et lumières : François Levé, Philippe Labonne, Françoise Mariot
Mise en scène : Philippe Labonne
Assistante metteur en scène : Françoise Mariot
Jeu : François Levé Régie : Jérémy Legrand
Construction : François Levé, Françoise Mariot, Eric Ozaine, Rémi Billardon
Avec la participation, dans le rôle des frères de Yann, de : Basille, Guillaume et Guillaume (École d'art dramatique de Brive)
En savoir plus...
L'Enfant Océan a également été adapté
par la compagnie Bagages d'Acteurs
Avec : Isabelle Dangerfield et Philippe Charleux. Musique : Jean Paul Maron.
L’enfant Océan a été adapté par
la compagnie Le Ruban Fauve
Mise en scène Irène Chauve
Jeu : Raphael Fernandez et Margot Forissier.
LA BALLADE DE CORNEBIQUE
Elle a été traduite, adaptée et jouée plus de cent fois aux États-Unis, sous le titre Billy Goat Ballad, par le Loren Kahn Puppet & Object Theatre.
Billy Goat Ballad
Cornebique, a billy goat and big fan of the blues, hits the road, to forget an unrequited love. He finds himself, unexpectedly, in charge of a tiny dormouse, an animal of which he has never heard ! Flesh, Weasel, special agent, is on their trail. He means to capture this last remaining male dormouse and reunite him with the sole remaining female, in order to create the world's biggest corporate food supply for… weasels.
Adapted from La Ballade de Cornebique by French author Jean Claude Mourlevat.
HISTOIRE DE L'ENFANT ET DE L'OEUF
Cet album a été adapté par le Théâtre du Jay "
Nous invitons le spectateur à se laisser porter d'un univers infiniment petit, à un univers de géant. Sur scène il y a un grand livre, les pages tournent, les paysages changent, les personnages sortent du livre et deviennent réels."
Texte de Jean-Claude Mourlevat
Mise en scène Philippe GRENIER
L'émotion pure ! On retient son souffle pendant la progression de cette délicate histoire à tiroirs où microdécors enneigés, microparcours, micromarionnettes, alternent avec des scènes rurales grandeur nature dignes d'un tableau de Millet. Manipulée a vue par des comédiens infiniment nuancés, une grande marionnette (l'enfant qui va chercher l'oeuf) se confond avec les humains dans les scènes théatralisées. L'histoire se déroule une fois à l'endroit et une fois à l'envers, et les péripéties sont si intelligemment rythmées qu'on a envie de voir et revoir plusieurs fois cette merveille pour retrouver son ambiance chaleureuse, onirique, enthousiamante. Par Henriette BICHONNIER - Télérama sup. Paris N°2875 (le 16.02.05)